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Avril 2017 : écriture & chroniques


Un petit mois d'avril du côté des lectures : seulement 2 livres !

Pour me trouver des excuses (il le faut bien...), ce mois a été plutôt chargé :

  • participation au Camp NaNoWriMo (objectif 15'000 mots, epic fail à 9'023)

  • 40 ans de ma soeur de coeur avec création d'un diaporama "de la mort qui tue" (plus de 20h de boulot, mais ça en valait la peine)

  • initiation à Wattpad et Scribay avec un roman d'urban-fantasy en cours d'écriture : "Exogènes, Le sang de la lignée" (#GordyChéri)

  • relecture et auto-publication de "Brûlée et autres histoires" (ce mini-recueil me tenait particulièrement à coeur)

Voilà. Fin des justifications...

2 lectures seulement, disais-je, mais ô combien intéressantes.

Commençons par Magic shifts d'Ilona Andrews.

Il s'agit d'une nouvelle aventure de Kate Daniels, célèbre héroïne d'urban-fantasy.

(D'ailleurs, si vous appréciez ce genre, la série ressort actuellement dans une nouvelle traduction aux éditions MxM Bookmark, collection Infinity)

After breaking from life with the Pack, mercenary Kate Daniels and her mate—former Beast Lord Curran Lennart—are adjusting to a very different pace. While they’re thrilled to escape all the infighting, Kate and Curran know that separating from the Pack completely is a process that will take time. But when they learn that their friend Eduardo has gone missing, Kate and Curran shift their focus to investigate his disappearance. Eduardo was a fellow member of the Mercenary Guild, so Kate knows the best place to start looking is his most recent jobs. As Kate and Curran dig further into the merc’s business, they discover that the Guild has gone to hell and that Eduardo’s assignments are connected in the most sinister way… An ancient enemy has arisen, and Kate and Curran are the only ones who can stop it—before it takes their city apart piece by piece.

Un très bon opus dans l'ensemble, à part quelques longueurs dans la 1re moitié, en raison de la multiplication des combats. Des goules, un griffon qui se transforme en scorpion des sables, un géant dont la chair devient métal, puis qui se transforme en une horde de lézards... Un peu trop, même pour moi.

Pour le reste, comme d'habitude, l'humour est bien dosé, les personnages sont bien construits et attachants.

Le scénario est intéressant et prend parfaitement corps dans l'univers fouillé et cohérent des auteurs.

Vivement la suite !

Note "plaisir" : 5/6

***

Seconde lecture du mois : Otoko geisha d'Eva Justine

Un homme geisha a-t-il le droit d’être amoureux ?

Élevé dans une maison des plaisirs, Mikio est un otoko geisha. Rompu aux arts de la sensualité, de l’écriture, du chant et de la conversation, il aspire plus que tout à s’élever dans la société nippone. Entrer au service du seigneur Akana Fujiwara no Akimitsu lui ouvre le chemin vers la reconnaissance. Mais il lui faudra se soumettre à tous ses désirs, même les plus vicieux. Pris au jeu de la soumission, le jeune homme apprendra à aimer et respecter cet étrange maître... jusqu’à ce qu’il fasse la rencontre de Kaori, le frère jumeau de son seigneur. Troublé au plus profond de son âme, Mikio suivra ses sentiments en un tracé sinueux.

Entre l’art de la vie japonaise au XVIIIe siècle, les délices d’un voyage au palais impérial, et les ravages d’un tremblement de terre, il affrontera avec honneur toutes les épreuves mises sur le chemin de son bonheur.

Mais sera-t-il capable de décider quel homme emportera son cœur ?

Roman 18 et + (scènes graphiques)

Un roman qui m'a sorti de ma zone de confort, puisqu'il s'agit d'une homoromance. Les bons avis, une discussion avec l'auteure et le fait que l'histoire se déroule au Japon m'ont convaincue de tenter cette lecture. Et je ne le regrette pas.

J'ai dévoré le texte en 3 soirs, me laissant emporter par la découverte du quotidien de Mikio.

L'histoire se déroule bien. Certains penseront qu'elle manque de rebondissements, de "je t'aime, moi non plus". Comme je ne suis pas amatrice de romance, j'ai apprécié que l'auteure évite ces schémas récurrents. Du coup, il se dégage, malgré certaines scènes de domination, une atmosphère assez sereine qui m'a plu.

Dans les bémols, je mettrais :

- quelques facilités scénaristiques, surtout vers la fin,

- le personnage de Mikio, parfois trop soumis à mon goût,

- un souci récurrent de placement des virgules.

Note plaisir : 4,5/6

Et maintenant, j'attaque "Le Lien du Faucon", de Delphine Laurent...

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